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"Cela s’appelle un massacre" !
vendredi 5 avril 2024 par Alain Chancogne (ANC)
Un réserviste israélien témoigne des atrocités de l’armée à Gaza : “Une violence qui ne mène nulle part, sauf à notre perte”(https://www.7sur7.be/monde/un-reserviste-israelien-temoigne-des-atrocites-de-larmee-a-gaza-une-violence-qui-ne-mene-nulle-part-sauf-a-notre-perte~a068a6a4/?referrer=android-app%3A%2F%2Fcom.google.android.googlequicksearchbox%2F)
"Cela s’appelle un massacre (...) Je n’aurais jamais cru que des êtres humains soient capables de telles choses." nous avoue ce réserviste de Tsahal.
Moi qui n’ai jamais mis les pieds en Palestine, je savais que de "telles choses" étaient "possibles".
C’est à Bordeaux qu’avait eu lieu le procès de la scandaleuse et abjecte décision concernant Oradour, qui a permis au SS-Gruppenführer Heinz Lammerding,... de finir ses jours en Allemagne, à la tête d’une florissante société capitaliste !!!
L’odeur de cadavres brûlés au napalm (du bébé au vieillard grabataire) du côté de Constantine, les gégènes de Légionnaires dont quelques uns, aux douches exhibaient leurs tatouages de Waffen SS, allemands... ou français... oui, je savais que ça avait existé.
J’avais failli dégainer contre un de ces fumiers une nuit de patrouille...
Le réserviste israélien interviewé pensait sûrement, sincèrement, qu’un État créé au nom de "Dommages et intérêts" pour une communauté victime d’une Shoah (absolument pas organisée par des arabo musulmans palestiniens) cela ne pourrait pas conduire au nom de la défense des Juifs résidant dans la partie de territoire octroyée par l’ONU, à ce qu’un jour, oui, des patrouilles de Tsahal obéiraient aux mêmes types d’ordre que ceux reçus par les bourreaux de Tulle, les pacificateurs de Varsovie, les génocidaires de millions de Soviétiques.
Dont l’armée libéra Auschwitz.
Ce réserviste, pour les soutiens d’Adolf Nétavoyou, pour les dirigeants du CRIF, pour quelques pseudo démocrates de par chez nous, sera traité d’"antisémite" complice des terroristes du Hamas".
Moi, au delà des réserves sur son appréciation du terme" génocide", je lui dit
" Merci, l’ami, ton témoignage courageux est une preuve objective que nous n’avons pas le droit de baisser les bras".
Si nous voulons que Vive la Palestine et que le Capitalisme génocidaire n’enterre pas l’Espoir de Bonheur sur cette planète en danger de mort.