En tant que patriote, démocrate, panafricain, internationaliste et communiste sénégalais, la plus vieille rébellion indépendantiste interne aux États post-indépendants en Afrique est une douloureuse épreuve pour notre peuple dans le processus d’édification de l’État-nation hérité de la décolonisation néocoloniale françafricaine et eurafricaine.
La balkanisation de l’Afrique détruisant et interrompant par la conquête militaire le processus endogène de la construction de nations a marqué le capitalisme (...)
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Sénégal/crise casamançaise : pour une solution politique, démocratique, dans une option panafricaine anti-impérialiste
Vers le temps du premier congrès de PASTEF
Après la victoire du peuple contre l’État néocolonial libéral hors la loi APR/BBY/PDS, la bonne gouvernance du jub, jubal, jubanti est en marche.
Le budget 2025 a été voté par les 130 députés que le peuple a élu pour soutenir, contrôler et faire prendre en compte les besoins populaires. Prolongeant les rapports accablants des corps de contrôle de l’État (IGE, IGF, OFNAC, Cour des Comptes), les audits sectoriels et centraux en cours révèlent l’insatiable prédation de la mal gouvernance criminelle des (...)
Pourquoi le Sénégal explose-t-il à son tour ?
Les « informés » français n’en reviennent pas. Le Sénégal qu’ils affirmaient le plus stable des pays d’Afrique, le seul pratiquement à pratiquer depuis 1960 la » démocratie à la française », avec des élections opposant gentiment des partis calqués sur la Droite et la social-démocratie hexagonales, ce havre de « consensus à la française » est en pleine crise politique, avec un Président en fin de mandat qui annule les Présidentielles prévues, des manifestants plein les rues de Dakar, pourchassés sans ménagement (...)
Sénégal : Deux ex-présidents, silencieux jusqu’ici, au secours du coup d’État constitutionnel de macky/apr/wade/pds
La résistance du peuple au putsch anticonstitutionnel de l’annulation report du scrutin présidentiel du 25 février 24 oblige A. Diouf et A. Wade à se coaliser pour tenter de sauver le système néocolonial. L’arrogance de Macky menaçant la « classe politique de s’entendre avant que des forces obscures (sic !) ne prennent le pouvoir » s’est muée en quête de énième « dialogue » pour attrape-nigaud.
Que vaut la parole de l’actuel président qui déclarait sine dié que : - « l’on ne reporte pas l’élection (...)
Sénégal : Le 25 février restera dans la mémoire des Sénégalais comme un jour de deuil électoral .
Ce 25 février 24 restera dans la mémoire des Sénégalais comme un jour de deuil électoral. Tout était prêt pour voter, mais la volonté autocratique de l’actuel président hors la loi défiant illégalement la légalité constitutionnelle a empêché la tenue du scrutin.
La pirouette présidentielle a été de promettre de respecter la décision du Conseil Constitutionnel après son énième « dialogue » monologue fixé après la date qu’il avait annulé-reporté avec la complicité des députés APR/BBY/PDS que l’institution qui en a (...)
Sénégal : Arrestation de Sonko et dissolution administrative de Pastef : l’état néocolonial ne respecte plus rien !
L’arbitraire du régime présidentialiste vient de coupler l’arrestation de l’opposant, probable vainqueur de la présidentielle 2024, à l’annonce de la dissolution de Pastef aussitôt suivie de prises d’assauts répressives de ses sièges et d’arrestations de responsables nationaux et locaux. Après les échecs des multiples et incessants abus de pouvoir sans aucun fondement juridique sérieux, c’est maintenant la force brutale sans aucune base légale qui est mise en branle pour écarter Sonko et Pastef de (...)
Sénégal : Pour faire échec au putsch de Macky/APR/Wade/PDS
En mettant fin de manière unilatérale, et sans base légale, au processus électoral trois semaines avant le premier tour de la présidentielle, Macky Sall a plongé le Sénégal dans une crise institutionnelle sans précédent. Depuis qu’il dirige le pays, il n’a cessé d’instrumentaliser la justice à des fins politiques et de réprimer les voix critiques.(JP-ANC)
Le 25 février 24, voter Diomaye président = Sonko (Photo) Et le 03 avril 24, gouvernement présidé par Sonko d’union nationale de transition ! (DFR-RC) (...)
Sénégal - Coup d’État contre la constitution a l’Assemblée Nationale-Combiner manifestations, villes mortes et grève générale pour stopper la dictature néocoloniale des libéraux.
Ce 5 février 2024 marquera le second coup d’état de l’histoire politique du Sénégal par le renvoi forcé au 15 décembre de l’élection présidentielle 2024 après l’expulsion des députés de l’opposition. En effet, le premier date de 1962, date à laquelle LS Senghor emprisonne le président du Conseil Mamadou Dia pour instaurer le régime présidentiel.
Une modification de l’article 31 de la Constitution selon lequel « Le scrutin pour l’élection du Président de la République a lieu quarante-cinq jours francs au plus (...)
Vers l’indépendance de la sen-justice le juge de Dakar confirme le juge de Ziguinchor !
Coup de théâtre, la cour d’appel de Dakar remet O. Sonko dans le fichier électoral tout comme l’avait fait le tribunal de Ziguinchor. Tout appel contre ce nouveau verdict de la part de l’autocratie Macky/APR/BBY ramène vers la Cour Suprême sans suspendre la remise même tardive de la fiche de parrainage à O. Sonko que le Ministère de l’intérieur lui avait illégalement refusée à travers sa Direction Générale des Élections (DGE). Il y aura-t-il récidive arbitraire, c’est ce que va révéler la nouvelle demande (...)
Le Sénégal et le FMI – Le Monde vu d’en bas
Dans cette nouvelle vidéo, Saïd Bouamama analyse l’accord entre le Sénégal et le FMI alors que couve une grave crise politique au Sénégal. Ce commentaire critique, rarement lu ou entendu dans les médias généralistes, montre que le Sénégal est vu comme un bon élève du FMI alors que la crise sociale et économique empire dans le pays. Saïd Bouamama analyse aussi la réintégration de la Syrie dans la Ligue Arabe et sa signification (...)