Ils ont pris cette décision à l’issue du premier sommet de l’Alliance des États de l’Afrique de l’Ouest (AES) qui regroupe le Burkina Faso, le Mali et le Niger, tenu dans la capitale nigérienne Niamey. Nous, chefs d’État du Burkina, de la République du Mali et de la République du Niger, membres de l’AES, avons décidé de la création de la Confédération des États du Sahel", indique une déclaration publiée à l’issue du sommet et lue par le ministre nigérien des Affaires étrangères et de la Coopération, Yaou (...)
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Les présidents burkinabè, malien et nigérien actent la création de la ‘’Confédération des États du Sahel’’
Sommet des chefs d’État de l’AES : « Nous avons décidé de nous assumer, nous allons nous battre pour notre liberté », Ibrahim Traoré
La lutte contre le terrorisme, les échanges économiques, culturels et commerciaux, la consolidation des relations de coopération entre le Burkina Faso, le Mali et le Niger sont, entre autres, les éléments essentiels débattus au cours du premier sommet des chefs d’État de l’Alliance des États du Sahel (AES), ce samedi 6 juillet 2024 à Niamey, la capitale nigérienne. Dans son discours, le président du Faso, le capitaine Ibrahim Traoré, est revenu sur les liens fraternels qui unissent les pays de cet (...)
Burkina Faso : Une représentation de BRICS à Ouagadougou
La Présidente de l’Alliance internationale des projets stratégiques BRICS, Mme Larisa Zelentsova a annoncé lundi, la mise en place d’une représentation de sa structure au Burkina Faso.
« Nous sommes en train de mettre en place la représentation de l’Alliance des BRICS au Burkina Faso, qui va travailler sur certains secteurs et les principaux axes seront définis par le Président de la Transition », a indiqué Mme Larisa Zelentsova.
Mme Zelentsova a également décoré le Chef de l’Etat, le Capitaine (...)
Au Sahel, les massacres s’amplifient malgré le Covid-19
Dans la série "que font les soldats français au Sahel ?"(NDLR) Au Mali, au Burkina Faso et au Niger, le coronavirus a fait des dizaines de morts, mais leur nombre reste très inférieur à celui des victimes de la guerre. Les assassinats ciblés et les massacres de masse ont été fréquents ces dernières semaines. Les armées nationales alliées de la France dans la « lutte antiterroriste » sont accusées de crimes contre des civils.
Quand il a vu arriver au loin les militaires dans son hameau situé à la (...)
Le Burkina Faso demande le départ des troupes françaises « d’ici un mois »
La nouvelle est reprise par tous les médias burkinabés, à commencer par le quotidienLe Pays. « La vague anticolonialiste qui a commencé au Mali (…) semble avoir fait des émules au Burkina Faso voisin, constate le quotidien ouagalais, puisque ce dernier a demandé le départ, dans un mois, de la force Sabre installée depuis 2018 à Kamboinsin, dans la zone périurbaine de Ouagadougou. Ce retrait plus que probable se fera entre le soulagement de ceux qui soutiennent mordicus que les troupes françaises n’ont (...)
Retour du Burkina-Faso – Impressions et quelques analyses
Rentré du Burkina-Faso, je fais ici part de la situation constatée durant mon séjour de trois mois. L’insécurité est le maître mot du vécu d’une grande majorité de la population. Plus du tiers du pays subit de fréquentes attaques terroristes. Le gouvernement, les « élites », l’opposition, la presse, personne ne définit cette insécurité dont les acteurs et les enjeux sont indéterminés. On sait seulement que c’est le fait des « Hommes armés non identifiés ou Hani ». Ils prônent le djihad islamiste.
Ces (...)
Le discours de Bassolma Bazié devant l’Assemblée Générale de l’ONU
Notre site a déjà publié des extraits de l’intervention à l’Assemblée Générale de l’ONU du représentant du Burkina Faso. Nous disposons maintenant de l’intégralité de cette intervention, telle que retranscrite par les services de presse. Ce texte est long, plus que nos publications habituelles. Malgré ce, nous tenons à le faire connaître de nos lecteurs, comme un document d’une exceptionnelle richesse, révélateur du bouleversement majeur qui secoue les opinions de l’Ouest africain, volontiers caricaturé dans (...)
Burkina Faso : le retour de Sankara ? – Le Monde vu d’en bas – N°67
Dans ce nouveau numéro Saïd Bouamama aborde la commémoration du 17 octobre 1961 et souligne que la reconnaissance officielle de ce crime d’état n’est toujours pas effectuée. La déclaration d’Emmanuel Macron rendant hommage aux victimes il y a un an réduisait la responsabilité à Maurice Papon et non à l’Etat français. Saïd Bouamama aborde ici le contexte de 1961 pour comprendre les stratégies françaises et en quoi la responsabilité de ce massacre dépassait bien la figure de Maurice Papon. Ensuite Saïd (...)
Burkina Faso - 2e Sommet « Russie-Afrique » : L’intervention du Président de la Transition, chef de l’Etat, le Capitaine Ibrahim Traoré
Camarade Président Vlamidir POUTINE ;
Camarades Présidents et chefs d’Etat africains ; Camarades Chefs de délégation ; Bonjour,
C’est un honneur pour moi de prendre la parole ici et de vous passer le salut fraternel du peuple du Pays des Hommes intègres. C’est aussi le lieu pour moi, avant tout propos de rendre à grâce à Dieu, Dieu tout puissant qui nous a permis de nous réunir ici ce matin en bonne santé pour parler de l’avenir et du bien-être de nos peuples. Je voudrais m’excuser auprès des ainés (...)
Le Quai D’Orsay a donné pour consigne de ne plus programmer d’artistes venant du Niger, du Mali et du Burkina Faso.
Après la déroute infligée à l’impérialisme français par des coups d’État consécutifs dans différents pays d’Afrique de l’Ouest et en Centrafrique, l’État français entend bien riposter.
« Sur instruction du ministère de l’Europe et des Affaires étrangères, il a été décidé de suspendre, jusqu’à nouvel ordre, toute coopération avec les pays suivants : Mali, Niger, Burkina Faso", écrit le ministère. "Par conséquent, tous les projets de coopération qui sont menés par vos établissements ou vos services avec des (...)